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lundi 13 mai 2013

Vernissage de "ta présence est dans mes gestes"




-  ta présence est dans mes gestes -

Titus Carmel : «  L'absence de l'homme me fait surgi des signes, des marques du geste au sens autographique. Cette connaissance fait remonter l'image à la surface. Autrement dit, son absence fait réveler des traits à la mémoire de (cet) homme. »

La plupart de mes collages rappellent le monde naturel. Mais plus exactement, ils sont comme des paysages intérieurs, ou des voyages vers moi-même.
Des territoires inconnus se révèlent à travers la construction et la déconstruction. Les découpages,  le papier déchiré, les frottages et les dessins forment des couches de souvenirs. Celles-ci sont intégrées dans mes mouvements, déplaçant les éléments autour.
C'est pour se rapprocher de la vie, ma vie, se souvenant de la mort. La fin de vie, la fin des choses semblent finalement se poursuivre.

Mes plus grands dessins d’encre et au graphite m’entraînent plus loin de moi-même et les références directe à la nature ont disparues. Les souvenirs deviennent plus abstraits, plus indépendants du soi. L’ image référentielle d'origine qui remonte au moins à douze années n'est plus là et les formes noires ont obtenu le droit de mener une vie qui leur est propre.
Le mystère de l'imagination commence.

L'artiste Emily Satre a dit juste cela ce que je souhaite : « Je veux que les dessins cache plus qu'il ne dévoilent







 - ta présence est dans mes gestes -                            (English)


Titus Carmel: L'absence de l'homme me fait surgi des signes, des marques du geste au sens autographique. Cette connaissance fait remonter l'image à la surface. Autrement dit, son absence fait réveler des traits à la mémoire de (cette) homme.

Most of my collages recall the natural world. But more correctly, they are like inner landscapes, or journeys to myself. 
Unknown territories are revealed through constructing and deconstructing. Cut-outs, torn up paper, rubbings and drawings form layers of memories. These are imbedded in my movements, shifting the elements around.
It is to come closer to life, my life, remembering death. The end of life, the end of things finally seem to continue.

My larger ink and graphite drawings take me further away from myself and direct reference to nature has gone. Memories become more abstract, more independent of the self. The original referential immage that goes back twelve years or more is no longer there and the black shapes have obtained the right to lead a life of their own.
The mystery of the imagination begins. 

The artist Emily Satre has said just that what I wish for:  I want that the drawing hides more than it unveils.





























BUXYThéodora Lenka lance la saison à Chenevelles

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le 03/05/2013 à 05:00 | H. F. (CLP) Vu 89 fois
Le gîte de Chenevelles accueille aussi des expos  et concerts.  Photo H. F. (CLP)
L’artiste Théodora Lenka ouvrira la saison culturelle à l’espace Georges-Vince, chez Claire et Daniel Pradet, dans leur gîte à Chenevelles, samedi 4 mai. Théodora présente un univers poétique et sensible où il est question de la vie, de sa vie. Elle puise dans ce matériau très personnel, très intime, fait de souvenirs inconscients, d’expériences poétiques et réalise dessins et collages. Théodora invite à voyager dans un espace où légèreté et gravité se répondent.

Cette exposition est en place du 4 mai au 9 juin et sera visible tous les jours sur rendez-vous. Le vernissage aura lieu samedi 4 mai, à 18 h 30, où sont attendus les visiteurs pour cette première exposition de l’année.



Buxy Les collages abstraits de Théodora Lenka

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le 09/05/2013 à 05:00 | Henri Févrat (CLP) Vu 98 fois
Au 1 er plan à droite, Théodora Lenka lors du vernissage.    Photo H. F. (CLP)
Au 1 er plan à droite, Théodora Lenka lors du vernissage. Photo H. F. (CLP)


Cette phrase sert de titre à l'exposition de Théodora Lenka...


« Ta présence est dans mes gestes. » Cette phrase sert de titre à l’exposition de Théodora Lenka. C’est aussi son guide dans le très beau travail qu’elle présente à l’espace Georges Vince de Chenevelles, chez Claire et Daniel Pradet.
Beaucoup de monde était présent à ce vernissage d’une expo qui surprend par l’abstrait immédiat des collages, puis qui se transforme vite en figuratif dès que le regard se fixe sur un sujet précis. Théodora est native des Pays-Bas. Elle a vécu 20 ans en Nouvelle-Zélande avant de s’installer dans un petit hameau proche d’Autun. C’est en mémoire d’un être cher qui se consacrait à des collages que cette artiste, tout en retenue et nuances, a pris le même chemin bien qu’avec des résultats tout à fait différents. Son travail rappelle nos travaux d’enfants : reproduire la face d’un objet (mis sous une feuille de papier) en le frottant. Ajoutez une touche de peinture, une douceur des traits et le sujet devient tableau. Le papier déchiré, les frottages, forment des couches de souvenirs…
À voir jusqu’au 9 juin sur rendez-vous au 03.85.92.04.76. 



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